Le 21/07/2025
Les scènes de violences urbaines à Béziers et Limoges ce week-end ne relèvent ni de la tragédie sociale ni du dérapage accidentel. Elles sont les actes concertés d’une jeunesse dont une partie est déjà enracinée dans la criminalité. Refuser de voir cette réalité, c’est prolonger l’aveuglement politique. Il ne s’agit plus de chercher des excuses : ces jeunes sont, pour beaucoup, connus des services de police et de justice. Certains sont multirécidivistes pris dans une logique de défi à l’autorité publique.